L'édito populo # 16 Mai 1998![]() |
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« Il est rentré le bougre ! » | by Presko |
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Et oui, LeS oUrS sont enfin au complet ! C'est dans une euphorie indescriptible que nous sommes allez accueillir Cyril (car c'est bien de cet ours mal léché atteint de priapisme dont il s'agit) à l'aéroport militaire du Bourget.
Certes, il y avait aussi présents de nombreux maris et pères comoriens venus régler des comptes (car faire sa coopé aux Comores c'est passionant, mais laissé 3 demis douzaines de batares dans un pays un peu à cheval sur les valeurs familiales c'est plus ennuyeux..). Mais après l'échauffourée (et dans ce mot il y a chaud mais aussi ...) tout rentra l'ordre (comme papa dans maman me souffle Cyroul, qui définitivement est atteint de dilatation vaso-musculaire à caractère permanent !). Ainsi , petites françaises, vous êtes prévenues ! Tout comme vous messieurs : avant d'aller mater les matchs de la coupe du monde chez votre potes Marcel avec vos collègues du bureau de poste (pourquoi tant de haine pour les P et T ?) du 7ème district de Nogent le Retrou, assurez vous que Cyroul n'est pas en liberté ce soir là ! Enfin, pour conclure cet édito qui va faire parler dans les chaumières (et dans les sous bois humides, voire moites, par les températures actuelles cela ne m'étonnerait qu'à moitié !) je ne m'étendrais et n'entamerais pas non plus une de ces tirades interminables bien que lamentables qui, vous l'aurez remarqué, ont tendances à envahir les pages de ce fanzine, enfin si l'on peut encore parler d'un fanzine, car ce n'est pas avec deux ou trois pauvres mises à jours semestrielles que leS OuRs vont décoller bon sang ! Regardez moi kroniqu'art, ça du fanzine qu'il est bon. C'est mordant, bien illustré (avec des dessinateurs qui savent dessiner hein Cyroul ! Si ton bâton de mine de plomb était aussi actif que ton bâton de ... [je vous laisse découvrir cette contrepétrie ignoble et à peine risible] et bien on ne saurait plus où les mettre tes dessins mon chaud lapin [merci pour la rime]...), je disais donc que non, cet édito ne finira pas en eau de boudin usée et vous ne finirez pas médusée par cet édito inusable et pourtant tellement usant. Car croyez moi, je suis intarissable quant à de tels propos. Des tartines que je peux en faire. Je suis capables de rivaliser avec n'importe quel énarque, même intelligent ! Mais non, je réitère ma promesse : il n'y aura plus d'édito avec des conclusions vaseuses qui ne veulent rien dite. Voilà c'est dit, vous n'y pourrez rien, vos cries, vos pleures n'y pourront rien changer, car oui, je suis venez vous dire que je m'en vais (ha non, merde, ça c'était l'édito du premier avril , mais c'est dingue ce que je |
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