Les Bons Pieds.

Les Bons Pieds sont des petits Sydhes qui possèdent une très grande endurance et qui peuvent courir très vite. Ce sont les secouristes des Sydhes. Ils sont aussi appelés en urgence quand un Sydhe reste coincé dans un tube. Ce genre de coincement n’arrive que très rarement. On en a compté jusqu’ici que trois, Brad le Grand étant le premier coincé de l’histoire des Sydhes. Les PTT (Professionnels des Transports Tubiques) assurent que les coincements ne se reproduiront pas de si tôt.
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Petit historique du peuple Sydhe.
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Le mélo

Le mélo est un moyen de transport très utilisé chez les Sydhes. Possédant un pédalier très complet, un guidon, une selle et deux paires de roues, on l’utilise pour faire des courses dans les galeries rondes reliant les habitations de toutes les collines creuses. Les mélos ne possèdent pas de freins, de ce fait, leur usage, considéré comme dangereux est resté très restreint. C’est pour cela que lorsqu’un Sydhe commence à s’emballer ou à en faire un peu trop, on lui dit « Arrête ton mélo! ». Les pompes à mélo sont très impressionnantes, puisqu’elles arrivent à gonfler quatre roues en même temps.
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Pic A Seau

Pic A Seau est un artiste très connu et apprécié des Sydhes. Il découvrit son nom (A Seau) en même temps que sa vocation lorsqu’il fit tomber sur la tête du prévôt Durgle Kete un seau plein de peinture octarine (mélange indélébile subtile de rouge de fraise, orange d’orange, violet de cassis, bleu de mer et rose de Thuringe) ce qui produisit des éclaboussures magnifiques encore appréciées aujourd’hui dans toutes les collines creuses. Le seul à s’en plaindre étant Durgle Kete d’ailleurs. Pour une fois que les gens appréciaient sa tête, toujours à râler celui-là.
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Le ouinje

Le ouinje est une cigarette roulée contenant une herbe spéciale très appréciée des Sydhes. C’est Bob Marre Les (père de Brad le Grand) qui a découvert les herbes qui font rires lors d’un de ses voyages en Grandmandie (patrie des grandes gens). Il les ramena dans les collines creuses et commença à les cultiver pour les faire découvrir aux habitants des Collines creuses. C’est lors de la première démonstration des propriétés spéciales des ouinjes, en 973 AGB que Bob reçu son nom (Marre Les), la moitié de la population des collines creuses ayant été prise d’un fou rire incontrôlable qui dura plusieurs heures. La famille de Bob continua la culture pendant trois générations et améliora sans cesse la pureté de l’herbe.
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Les semaines des Sydhes.

Les semaines des Sydhes sont très spéciales. Le nombre de jours qu’elles contiennent changent suivant les mois, qui eux même changent suivant les années (tout cela pour éviter la répétition et donc, l’ennui). Ainsi une semaine « normale » contiendra 14 jours: limdiche, samouche, valdache, toruche, haldoche, xolufache, turtalache, menachuche, vichiniche, popsuliche, lunmaziche, dufoiche, fadadastrodiche et higafoche. Xolufache, menachuche et popsuliche étant les jours de travail obligatoire (Le reste du temps, étant consacré aux distractions, au travail personnel, à la culture de son jardinet et à une foule d’autres activités). Certains métiers comme celui de Bons Pieds nécessite une présence permanente et une disponibilité de 38 heures sur 59. Aussi, ces corps de métiers sont ils divisés en groupe de travail qui tournent toute l’année. De plus ces métiers possèdent une foule d’avantages divers qui permettent d’avoir beaucoup de volontaires.
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Ogène

Le phénomène Ogéne à été découvert par le fameux scientifique Al, qui a de ce fait trouvé son nom (Al Ogéne).
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Le nom des Sydhes.

Les Sydhes trouvent leurs noms quand ils deviennent adultes. La trouvaille de ce nom se fait toujours en rapport avec une expérience, une aventure ou un savoir-faire du jeune Sydhe. Ainsi, on a vu des Sydhes plus fainéants que les autres trouver leur nom à 70 ans et s’appeler Fait le Néant ou Dor le Meur. Le passage d’un Sydhe à l’âge adulte est toujours le prétexte à une gigantesque fête où tout le monde est invité et où le Sydhe peut enfin choisir sa femme. La façon dont le Sydhe reconnaît son nom est toujours restée inexpliquée. En effet dès qu’il entend ce mot, le Sydhe adulte sait indubitablement et irrémédiablement que c’est le sien, et rien ne pourra le faire changer d’avis.
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