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L'Hebdo du 31 janvier 1998

Oui, mais non...

Ca ne peut plus durer !

Il faut que cela cesse. Nous l'avons trop dit, et vous le savez, tout ça n'est pas tenable. Dans une telle période, où tout cela se passe, et surtout, étant donné comme cela arrive, il est inadmissible que les choses restent en l'état !

Agissons, mais vite. Il faut nous ressaisir ! Trop, c'est trop, et nous savons tous qu'à tant s'agiter et se démener, la vasque se brise, tellement l'autre cruche nous les gonfle. Mais je ne vous apprends rien, si ce n'est que l'on nous cache tout, et encore, il y a tout ce que l'on ne nous dit pas !

Mais venons en au fait : je dis "STOP" (au nom de l'amour) ! Haut et fort et à intelligible voix : non, non et non ! Nous ne nous laisserons pas faire, et tous ensemble, dans un grand rassemblement, nous serons solidaires et unis pour ne plus faire qu'un unique seul !

Car c'est la seule solution : il faut résoudre le problème, de manière définitive, concrète et fiable. Car il n'y a pas de place pour l "à peu près" et le flou artistique. La cacophonie générale ambiante qui règne ne peut mener qu'à l'anarchie, voire au désordre, ce qui l'est terriblement.

Mais ce qui est fait, est fait, et malheureusement, il est trop tard pour que cela change. Les défaitistes et autres pessimistes ont, une fois de plus, renversé la tendance et se sont voués à l'échec. Mais n'en jetons plus, tout est fini et encore une fois, le début précéda la fin, sans que l'on sache vraiment pourquoi. Car, comme le disait naguère, l'univers en expansion se moque bien du reste...

A méditer à voix basse.

C'était un message des journalistes de la presse écrite et audiovisuelle

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